L’AS Saint-Étienne traverse une nouvelle tempête qui s'est amplifiée suite à la relégation en Ligue 2, et ce ne sont pas les propos de Romain Molina qui viendront rassurer les supporters. Selon le journaliste, le club est en lambeaux à l’intérieur, miné par une ambiance exécrable dans les bureaux et une gestion jugée catastrophique par la nouvelle direction canadienne. Les propriétaires, parfaitement conscients de la situation, restent spectateurs d’un climat délétère qui contamine toutes les strates du club.
Dans les couloirs de l’Étrat, la tension est palpable. Les luttes de clans historiques n’ont jamais vraiment disparu, malgré le rachat par Kilmer Sports Ventures et l’arrivée de dirigeants expérimentés. Le choix de maintenir certains cadres, dont Loïc Perrin, est aujourd’hui vivement critiqué. Molina ne mâche pas ses mots : le club stéphanois souffre d’un manque flagrant de leadership et de vision, avec des décisions prises davantage pour l’image que pour l’efficacité.
Ce malaise interne a des répercussions directes sur le vestiaire, où l’ambiance est tout aussi morose. Les joueurs, déconnectés et désabusés, n'ont jamais réussi à trouver de dynamique collective. Malgré un investissement conséquent sur le marché des transferts, l’ASSE reste engluée dans ses vieux démons, incapable de retrouver l’élan qui faisait sa force.
La légende des Verts vacille, et tant que le club ne se réinventera pas en profondeur, la lumière au bout du tunnel risque de rester bien lointaine. Le président Yvan Gazidis va devoir agir, et très vite !
Dans les couloirs de l’Étrat, la tension est palpable. Les luttes de clans historiques n’ont jamais vraiment disparu, malgré le rachat par Kilmer Sports Ventures et l’arrivée de dirigeants expérimentés. Le choix de maintenir certains cadres, dont Loïc Perrin, est aujourd’hui vivement critiqué. Molina ne mâche pas ses mots : le club stéphanois souffre d’un manque flagrant de leadership et de vision, avec des décisions prises davantage pour l’image que pour l’efficacité.
Ce malaise interne a des répercussions directes sur le vestiaire, où l’ambiance est tout aussi morose. Les joueurs, déconnectés et désabusés, n'ont jamais réussi à trouver de dynamique collective. Malgré un investissement conséquent sur le marché des transferts, l’ASSE reste engluée dans ses vieux démons, incapable de retrouver l’élan qui faisait sa force.
La légende des Verts vacille, et tant que le club ne se réinventera pas en profondeur, la lumière au bout du tunnel risque de rester bien lointaine. Le président Yvan Gazidis va devoir agir, et très vite !